4 bonnes raisons de prendre son vélo pour aller travailler
Publié le 20 septembre 2018 à 10:52
Aller au boulot en vélo, c’est bon pour la santé, c’est bon pour l’environnement, c’est bon pour le porte-monnaie (saviez-vous que vos frais kilométriques vélo pouvaient être remboursés ?), mais cela peut également être l’occasion d’être généreux.
On vous explique tout en détails.
Le vélo c’est bon pour la santé
On le sait maintenant pertinemment, l’activité physique régulière est bonne pour la santé. Et comme toute activité physique régulière, faire du vélo dérouille les articulations, améliore le souffle, entretient le système cardio-vasculaire, prévient le surpoids et tous les troubles associés (diabète, hypertension, cholestérol...).
Mais le vélo est surtout un excellent allié de la ligne et de la silhouette : il tonifie le corps, raffermit les fessiers et les abdominaux tout en galbant joliment les jambes.
Tout cela sans parler du quotidien qui devient beaucoup moins stressant : on oublie l’angoisse des embouteillages, les risques de PV, la promiscuité dans les transports en commun, les problèmes de parking…
Le vélo c’est bon pour l’environnement
Alors que la diminution des émissions de particules et parallèlement des gaz à effet de serre dans les villes est indispensable, pourquoi ne pas prendre la bonne résolution d’enfourcher son vélo pour protéger l’environnement ?
En effet, prendre soin de l'environnement ne se limite pas au tri sélectif, même si cette pratique doit être encouragée.
Saviez-vous que pour des petits trajets, enfourcher son vélo plutôt que de faire démarrer son moteur permet de faire une économie de 700 kg à 1000 kg de CO2 en moins d’un an ?
Par ailleurs, hormis les bénéfices concernant la pollution de l’air, le vélo permet également de diminuer la pollution sonore, puisqu’il est totalement silencieux.
Et même pour sa propre santé, contrairement à ce que beaucoup imagine, quand on fait du vélo on inhale moins de CO2 qu'un automobiliste confiné dans sa voiture qui respire les gaz d’échappement à plein nez à travers sa ventilation.
Le vélo c’est bon pour le porte-monnaie
En tout premier lieu, le vélo vous évite les dépenses, hélas trop fréquentes et trop élevées, en matière de carburant.
Les frais d’entretien sont également réduits à un strict minimum : tout au plus un peu d’huile de temps en temps pour graisser la chaîne !
Une indemnité kilométrique vélo payée par votre employeur
La loi prévoit désormais que les frais des salariés qui se rendent à leur travail en vélo peuvent être pris en charge pour tout ou partie par l'employeur via le paiement d'une indemnité kilométrique vélo (cette indemnité vélo est prévue au nouvel article L. 3261-3-1 du Code du travail instauré par la loi de transition énergétique).
Toutefois, le versement de cette indemnité sera facultatif pour l’employeur : la mise en place de cet avantage accordé aux salariés se fera, selon les cas, par accord d'entreprise ou par décision unilatérale de l'employeur après consultation du comité d'entreprise ou des délégués du personnel.
Le montant de l'indemnité kilométrique vélo sera fixé par un décret à paraître avant fin décembre 2015. Son calcul fait toujours l’objet de discussion, mais cela devrait se situer entre 15 et 25 centimes du kilomètre, ce qui correspondra à quelques dizaines d’euros par mois pour les salariés qui ne se déplacent qu’en vélo.
Le vélo, l’occasion d’être généreux
Si vous le souhaitez, il est également possible de faire don en partie ou en totalité de cette indemnité kilométrique pour faire avancer la recherche médicale pour les maladies digestives (maladie cœliaque, maladie de Crohn, côlon irritable…), vous savez ces maladies invalidantes, chroniques, douloureuses, taboues, qui touchent aujourd’hui près d’un français sur cinq, soit près de 12 millions de personnes.
Pour étudier ces maladies digestives, la fondation digestscience s’est investie à 100% dans la recherche, l’accompagnement des malades, la formation du personnel de soin…
Pour aider cette fondation, il vous est possible de faire un don sur : digestscience : donner pour soutenir la recherche.
Sachez que votre don ouvre droit à une réduction d'impôt de 66% de son montant dans la limite de 20% de votre revenu imposable.
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