Les sodas « light » entraineraient un risque accru de diabète
Publié le 08 février 2013 à 17:11
Une étude française révèle que boire de grandes quantités de soda light pourrait s’avérer néfaste pour la santé.
Les sodas « light » (boissons dans lesquelles le sucre est remplacé par un édulcorant) sont généralement considérés comme plus sains pour la santé que les sodas contenant du vrai sucre.
Or, après un suivi de 66 188 femmes durant 14 ans, les chercheurs de l’INSERM ont constaté que la consommation de sodas « light » était associée à une multiplication par 2,3 du risque de développer un diabète par rapport aux femmes ne consommant pas de boissons sucrées, tandis que la consommation de boissons sucrées ordinaires ne multipliait que par 1,5 ce risque.
Toutefois, il faut bien préciser que les femmes étudiées qui consommaient des boissons « light » avaient une consommation supérieure (2,8 verres/semaine) à celles qui consommaient des boissons normales (1,6 verre/semaine).
Les chercheurs restent toutefois prudents et soulignent que très peu d'études existent sur le sujet à l'heure actuelle et qu'elles sont contradictoires. D’autres travaux devront être réalisés pour établir un lien de cause à effet et pour mettre en évidence le mécanisme en cause.
Or, après un suivi de 66 188 femmes durant 14 ans, les chercheurs de l’INSERM ont constaté que la consommation de sodas « light » était associée à une multiplication par 2,3 du risque de développer un diabète par rapport aux femmes ne consommant pas de boissons sucrées, tandis que la consommation de boissons sucrées ordinaires ne multipliait que par 1,5 ce risque.
Toutefois, il faut bien préciser que les femmes étudiées qui consommaient des boissons « light » avaient une consommation supérieure (2,8 verres/semaine) à celles qui consommaient des boissons normales (1,6 verre/semaine).
Cependant, même à quantités consommées égales, la consommation de boissons « light » était associée à un risque plus élevé de développer un diabète (supérieur de 15% pour 0,5 litre/semaine et supérieur de 59% pour 1,5 litre/semaine). Par contre et par comparaison, la consommation de jus de fruits pressés n’est pas associée à un risque accru de diabète.
Les chercheurs restent toutefois prudents et soulignent que très peu d'études existent sur le sujet à l'heure actuelle et qu'elles sont contradictoires. D’autres travaux devront être réalisés pour établir un lien de cause à effet et pour mettre en évidence le mécanisme en cause.
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