Réforme de notre système de santé : les propos du premier ministre
Publié le 18 février 2013 à 11:11
Jean-Marc Ayrault a déclaré le 7 février dernier vouloir engager une « réforme structurelle du système de santé » sur les 5 à 10 années à venir.
Faisant suite aux mesures déjà prises par le gouvernement (accord sur les dépassements d’honoraires, hausse du plafond de la CMU, objectif sur la généralisation d’une complémentaire santé pour tous les salariés), le Premier Ministre a décidé d’engager une réforme de fond qui devra s’étendre sur 5 ou 10 ans.
En ayant toujours pour objectif de réduire les dépenses de santé, tout en améliorant l’état de santé de la population française et l’égal accès aux soins pour tous, Jean-Marc Ayrault insiste sur le fait qu’il faut apprendre à « dépenser mieux ».
Jean-Marc Ayrault a également insisté sur l’importance de la recherche, de la prévention et de l’éducation de la santé « La France ne consacre que 2 % de ses dépenses de santé à la prévention ».
Il a également insisté sur la poursuite des efforts concernant les « déserts médicaux » « en agissant dès les études supérieures de médecine ».
En ayant toujours pour objectif de réduire les dépenses de santé, tout en améliorant l’état de santé de la population française et l’égal accès aux soins pour tous, Jean-Marc Ayrault insiste sur le fait qu’il faut apprendre à « dépenser mieux ».
Le Premier Ministre rappelle l’importance d’une « médecine de parcours », « ce n’est pas au patient de coordonner lui-même la série d’actes et d’interventions dont il a besoin ». Un durcissement donc du système de soin actuel qui obligeait déjà le patient à voir son médecin référent avant toute autre consultation.
Le Premier Ministre souhaite améliorer la coordination entre les praticiens de ville et les établissements hospitaliers.
Il espère également une meilleure prise en charge des patients avec notamment une aide à domicile après une hospitalisation.
Le Premier Ministre souhaite améliorer la coordination entre les praticiens de ville et les établissements hospitaliers.
Il espère également une meilleure prise en charge des patients avec notamment une aide à domicile après une hospitalisation.
Jean-Marc Ayrault a également insisté sur l’importance de la recherche, de la prévention et de l’éducation de la santé « La France ne consacre que 2 % de ses dépenses de santé à la prévention ».
Il a également insisté sur la poursuite des efforts concernant les « déserts médicaux » « en agissant dès les études supérieures de médecine ».
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